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Sommaire ![]() ![]() ![]() Briefing (retour)
28 mai 1944 , 06h31, temps nuageux
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Rapport des pilotes Magik
J'innove. Je leade les Ju87. On décolle puis on spirale à gauche pour monter à une altitude raisonnable (1500m). On se traine à 210km/h... decollage en ju87, lourdement chargé. on met pas mal de temps a grimper a 3000m, et je depasse N°2 et N°3 (je suis N°4) mais au moins 200m en dessous du N°1. enfin j'arrive a 3000m et N°1 nous fiat mettre a la queu leu leu. et donne ses directives. on largue tout en une fois sur la premiere cible qu'on trouve. ok entendu. les 3 premiers plongent sur des cibles qu'ils ont trouve. j'e vois un convoi mais un ju87 pique deja dessus (par le tru du plancher j'ai vu ca). je ne vais pas plonger et larguer1 tonne de bombes sur des veicules deja demolis hain. a quoi bon gacher ca. a 3200m je suis en securite. je cercle donc tranquillement en chercant une cible. enfin au bout de 1mn je trouv eun convoi qui arrive juste a l'entree de la ville. je plonge dessus et au moment de larguer mes gros oeufs de paques, je vois un appareil qui effectue une passe en straffing dessus. trop tard, dommage. les bombes sont parties. je retracte mes aerofreins immediatement a 1200m et recommence immediatement a grimper. je pars vers le nord comme on l'a dit. et cherche des yeux mes copains, mais je comprendrais plus tard que j'ai redresse plus haut qu'eux et donc qu'ils doivent etre qq part en dessosu de moi. sur l'ordre dertb je commence a rentrer mais je grimpe constamment tellement je sais que vaut mieux etre en haut que bas si y'a des vilains qui arrivent. on se donne rv au dessus du vesuve et etant au dessus des nuages a 2500m j'ai unpeu de mal a le situer. enfin je le trouve et arrive au dessus en radio on est tous la , mais on ne se voit pas. des chasseurs arrivent et engagent les copains, moi a 2500m je ne craisn rien, mais en dessous ca chauffe. et je n'ai aps envie de me barrer comme un gros lache. je reste donc dans mon nid d'aigle et indique ce que je vois au chasseur qui viens nous filer un coup de main. a un moment voyant un chasseur qui file vers le sud, et profitant de mon avantage d'altitude je tente de le poursuivre mais 2mn apres j'abandonne, il me seme comme il veut. le stuka c'est vraiment tres lent je retourne sur le vesuve et voit 2pattes poursuivant un ennemi , et en ayant lui meem un qui le rattrape je lui dis de breaker, mais il tiens a terminer l'appareil sur lequel il est. sa cible pars en pique en fumant noir et 2pattes s'ecarte enfin. son poursuivant abandonne se poursuite et la situation se renverse. 2pattes nous dis contorler la situation et de faire un rtb. on s'execute. et je rentre a la base. je ne pige pas les instruction radio et me pose a contre sens. (en radio j'ai entendu 70) et en fait c'etait 270 le QFU sinon, atterro sans soucis. je fias une frayeur a mes copains en verifiant si mes canons sont vides pendant 32secondes effectivement au bout de 32 secondes je m'apercois que j'ai raison, ils sont bien vides (maintenant) . Seulement 2 Bf-109 en escorte aujourd'hui, mais autant d'essence que l'on veut ! Des Bf-110 et des Ju-87 font du soutien à nos troupes engagée dans Naples. Rendez-vous avec les bombardiers a peu près géré, Warpig et moi orbitons autour de Naples lorsque mon ailier aperçoit soudain 8 contacts haut. Nous grimpons immédiatement. Il s'agit de "lourds" à au moins 7000 m. Je vérifie auprès des bombardiers que rien de les menace puis prend la décision d'essayer d'attaquer ces bombers. Poursuivre à deux 8 B-24, avec un désavantage de 5000m et alors que nous sommes la seule couverture des Bf-110 et Ju-87: on peut pas dire que la lucidité l'ait emporté ! Après une laborieuse montée, Warpig et moi sommes 1000m plus haut dans les 4h des B-24. Bon, quand faut y aller ! La peur au ventre et le palpitant qui tape dans la poitrine nous enchaînons 3 ou 4 passes. Nous touchons légèrement deux B-24 et Warpig est durement touché au moteur. C'est alors que les bombers nous annoncent qu'ils sont engagés. Merde, merde, merde ! A plus de 600 km/h, nous repartons vers Naples. Le moteur de Warpig s'arrête, je lui ordonne de se poser le plus au nord possible. Moi j'essaye en vain de localiser les Bf-110 qui ne parviennent pas à m'indiquer leur position. Je tombe en revanche sur les Ju-87 qui se font à leur tour prendre à parti. Je descend successivement 3 macchi italiens (les traitres !) en étant au moins deux fois prévenu par les pilotes de Ju de bandits se plaçant dans mes 6h. RTB sans encombre. Grosse, grosse erreur de ma part à vouloir poursuivre ces B-24 ! Mea culpa les gars, ça me servira de leçon. En revanche, encore une fois, les indications des bombers engagés manquaient de précision à mes yeux. Voici ce que l'escorte aimerait idéalement savoir: nombre, type et altitude des bandits, nombre type et altitude des bombers engagés, position actuelle (genre, 090° de la ville en H-15) et intention (cercle défensif, fuite sur tel cap). Bon, c'est sûrement pas facile de raconter tout ça alors qu'on break pour sauver sa peau, mais c'est vachement important pour l'escorte. Je suis N° 3 des 110 leader par Bed avec ralf et Gnou, decollage et nav sans histoire, sur naples ca a l'air de chauffer, on repère des cibles je largue mes bombes sur un arbre pensant que c'était un tank, On refais plusieurs passages avec Gnou, perso j'en touche pas une, nada, je me prend quelques nions, mais sans jamais vraiment alterer le comportement de mon avions, j'entend plusieurs 110 qui font un RTb pour cause de moteur en feu, je fait encore encore une passe, et je demande qui reste en 110 sur l'objectif, perssonne ok je fait un rtb, j'entend que Riri et gnou se font engager au Nord Est de la ville, mais le nord-est j'y suis, pensant etre devant je fait demi tour, je vois rien, je cherche, rien, rtb, en remontant je vois des tirs au loin, en effet ils étaient bien au Nord Est de la ville mais a 30 ou 40 bornes, j'arrive et j'essaye de poursuivre 2 spit, je fait quelques tirs lointain sans resultats, les spit s'en vont, Gnou et riri sont au tapis, je fait un rtb, enfin j'essaye car je me paume completement et je jardine pendant 10 min avant de trouver la piste, je commence mon approche, je me met en final et la paf mon avion s'effondre comme-si un peu j'avais pas sortie les trains... voila faudrait verifier sur le track mais j'ai bien peur d'avoir fait cette oubli sinon j'explique pas trop le crash.
Je suis ailier de 2Pattes sur le deuxième et dernier 109 de l'escorte. Ce coup-là, plus de restriction d'essence (merci les pilotes de 110 de la mission précédente !). Nous regroupons avec les Zerstörer de la première vague et survolons une ville de Naples plongée dans le chaos. Himmel ! La dca est dense ! En survolant la zone, je prends un obus, heureusement sans conséquence. C'est alors que j'aperçois huit contacts au sud-est de la ville, haute altitude, au-dessus de la mer. J'en informe 2Pattes qui ordonne de mettre pleins gaz pour checker. La silhouette est caractéristique : des B-24. 2Pattes hésite, tergiverse... Y aller, pas y aller ? J'avoue ne pas pouvoir l'aider, j'hésite aussi : continuer à couvrir les copains ou flinguers ces bastards qui s'apprêtent à larguer des tonnes de bombes sur nos navires ? Dilemne ! 2Pattes demande aux bombardiers si leur ciel est clair. Leur réponse étant positive, il tranche : on y va, on peut les laisser nous bombarder comme ça, sans rien faire. On grimpe, aussi vite que l'on peut. Nous voilà à 8000 mètres, au-dessus d'eux. 2Pattes et moi plongeons sur les Liberator... Les mitrailleurs nous prennent pour cible. Là, je me dis que ce n'est peut-être pas une bonne idée (moins par choix tactique que par trouille devant le déluge de feu qui s'abat sur nous)... Ma première passe est la plus sûre, puisque je boom&zoom le n°3 de la formation. Et pourtant, cette première passe n'est pas terminée que mon pare-brise est couvert d'huile et que mon moteur couine. Méééhhheeeeuuuuuuuu !! Je sens que je ne vais pas pouvoir faire de vieux os... De rage, je refais des passes, toutes plus inconscientes les unes que les autres, puisque mon moteur ne me permet plus d'avoir une vitesse suffisante pour faire des passes rapides. Je place plusieurs obus dans un B-24 de tête et renonce à sacrifier ma vie contre des bombardiers... Je pique vers la mer, reprends le cap vers Naples, que je contourne par l'ouest, et file plein nord-est. Mon moteur couine de plus en plus et je comprends qu'il est vain d'espérer rallier la base de Milan. Un dernier "PROUF !" crachottant de mon Daimler-Benz et me voilà l'hélice en croix. Je plane le plus loin possible vers le nord pour m'éloigner de la ligne de front et me pose sur le ventre près d'une route. *** Kasp N°6 pour former une paire avec Riri, nous décollons dans nos Bf-110 G pour porter secours à nos dernières troupes retranchées dans Naples. Après une nav sans histoire, Bed qui lead le dispo nous amène vers l'est de la ville pour faire une première passe. Avec Riri, on pique sur un long convoi stationné au sud est, que je signale à la radio. Riri sert à gauche, je me place à droite, et on largue ! Les explosions déchirent les rues napolitaines, de nombreux véhicules sont laissés en feu ! *** Promotions (retour)
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