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Sommaire ![]() ![]() ![]() Briefing (retour)
Benito Mussolini, comme vous le savez, a été arrêté par le Roi Victor Emmanuel III, et remplacé par le Maréchal Badoglio ! Le nouveau gouvernement, extrêmement complaisant avec l'envahisseur, après avoir tenté de contacter l'ennemi par le Vatican, a signé l'armistice le 8 septembre, ce qui a été publiquement annoncé par la BBC ! ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]()
Rapport des pilotes Warpig
Je suis positionné en n°4 du dispo de 109 emmené par 2Pattes, chargé d'escorter les 110 vers l'aérodrome. Une dispositif lui-même escorté par la chasse italienne, en la personne du valeureux Loul, sur Macchi 202. Je lead une formation de 5 chasseurs: 4 Bf-109 (2Pattes, Pilax, Warpig, Riri) et un MC 202 (Loul). Notre mission est l'escorte des Bf-110 pendant leur attaque d'une base aérienne alliée. Rendez-vous haut dessus de l'île Margarita. Les Bf-110 arrivent en deux vagues distincte. J'envoie mes n°3 et n°4 en protection rapprochée du second groupe tandis que n°2, n°5 et moi même couvrons le premier. Nav vers l'objectif sans problème. Arrivé sur place, les ennuis commencent: cacophonie à la radio, indécision chez les bombardiers (circuit d'attente, qui frappe quoi, etc.). Mon groupe décrit une large orbite gauche autour le l'aérodrome lorsque le groupe Alpha annonce de multiples contacts au nord-est. J'annonce que les chasseurs s'en chargent, et comme y'a pas moyen de s'entendre à la radio, j'ordonne le passage sur canal Charlie (Loul et Pilax, n'entendront pas l'ordre). J'aperçois 4 appareils lourds passer plus bas sur ma gauche (des A-20 ? des B-25 ?) mais ce qui m'inquiète vraiment c'est les 8 petits points noirs dont la formation s'éclate alors qu'ils plongent. Je vois des tirs: Scheiße ! C'est les Bf-110 qui morphlent; qu'est-ce qu'il foutent là ! J'aimerais prendre de l'altitude hors de la mélée avant d'engager, mais il faut agir; je rentre dans la danse. Très vite, je vois que ça part mal. Les américains ont l'avantage de l'altitude et du nombre; pas bon ça. J'esquive plusieurs passes frontales: deux P-51, puis un P-38. Comme je suis isolé, je n'ai personne pour couvrir mes fesses; j'essaye donc de grimper en virage en surveillant constamment mes six. Soudain un bruit de moteur en rapprochement rapide, le son des browing et des traçantes qui passent sur ma droite; je break et vois un mustang me dépasser avec au moins 150 km/h de différentiel. A peine remis de mes émotions, le manège recommence. Cette fois, j'entends plusieurs impact sur mon fuselage mais pas de dégâts apparents. J'appelle mes potes à l'aide et Warpig est à l'écoute, mais encore loin de moi. Je me prend alors une troisième passe (un P-38 je crois) qui me touche durement au plan droit: deux énormes trous près du saumon, mais l'aile tient bon. En revanche, mon appareil est désormais aussi manoeuvrant qu'une enclume. Seul point positif, Warpig a regroupé sur moi. Nous sommes à 2500m et 3 P-38 nous surplombent. Warpig a lui aussi été touché de son coté; il est blessé mais assure qu'il peut tenir. Bien sûr je pense à la fuite, mais si on plonge les P-38 vont nous abattre comme des chiens; pas le choix, il faut faire face. Warpig parvient heureusement à nous sauver en abattant un premier P-38. Un long duel s'engage alors. Avec mon 109 endommagé, je ne parviens jamais à être menançant, en revanche, je fais une cible de choix pour les américains qui me donnent de sacrées sueurs froides. Warpig descend un deuxième P-38 et engage le dernier. Il est bientôt winchester et malgré tous mes efforts, impossible de me rapprocher du diable fourchu. Le carburant baisse dangereusement, nous sommes maintenant proche des 100 litres. A la faveur d'un dégagement du P-38, j'ordonne une extension au 050°. Ca a l'air de marcher, l'américain ne semble pas nous suivre. Plein gaz, nous évitons la DCA d'une grosse ville et partons en RTB au dessus de la mer. Mon voyant essence s'allume; il me reste moins de 50 litres. Warpig et moi passons en croisière éco. Normalement avec ce regime, je devrait tracer à 400 km/h. Là le me traine péniblement à 220 km/h ! La terre enfin, 25 litres. Pas le choix, je vais me poser sur un aérodrome secondaire au sud du notre. J'arrive heureusement direct en finale. Vu l'état de mon aile, je choisi une approche rapide: 240 km/h. Avec mille précautions, j'arrondis doucement et la 109 se pose. Au parking à coté de la tour, je coupe mon moteur: il doit me rester 5 litres ... Configuration de la mort chez les Alpha : Bed leader, Peetch, Magik, Lampatex. Décollage et regroupement sans problème, on commence à se connaitre. La formation est sympa à voir. On ralentit pour attendre le reste du dispo leadé par Shane au dessus de Isola Margerita. On arrive droit sur la base ennemie que je ne vois pas (masquée par le cockpit). Bed attend le reste du dispo en cerclant autour de la base ennemie hors de portée de la DCA. C'est un peu le bordel sur le canal, chacun prenant l'initiative de l'attaque. Un peu agacé (je vois Bed taper les vitres de son cockpit en bavant), Bed décide d'attaquer. Je prends les parkings de gauche/sud avec Tex. Je largue mes gros oeufs sur le premier parking qui me passe dessous, puis les petits sur le parking suivant. On dégage par la droite. J'ai perdu Bed mais Tex est toujours là. On reçoit l'ordre de traiter les bombardiers. On aperçoit 3 bombardiers sur notre droit, celui du milieu fume. J'annonce ma passe sur celui de gauche, un 110 me passe devant. Pas grave, je prends celui qui fume. J'arrose et je le touche assez sévèrement vue l'embardée qu'il fait mais je n'ai pas le temps de fignoler, mon moteur droit a été salement touché, je suis légèrement blessé. RTB, je dis à Tex de retrouver Bed, je pense être tranquille sur le retour. Arrivé sur la base, je casse le train en coupant les gaz en me croyant plus près du sol (surement ma vue troublée par ma perte de sang). L'avion perd des gros morceaux mais sans dommage pour mon mitrailleur et moi. Leader du groupe bravo, nous decollons et nous regroupons peu a peu en direction d'isola marguarita. Yankee mon ailier a bcp de difficultee a regrouper malgre le fait que je reduise plusieurs fois mon regime. a 230kmh en montee je ne peux pas reduire plus et yankee annonce qu'il viens d'effectuer unevrille qu'il a rattrape. helas 2mn apres il en fait une autre qui se termine a la baille. nous poursuivons vers isola margarita et arrivons au rdv a 1400m d'altitude. les chasseurs nous annoncent qu'ils sont la et nous prenons un cap 160 vers trapani. au loin nous voyons de temps en temps les petits points du groupe alpha qui nous devance de 3mn d'apres mes estimations. soudain des pof pof de dca 37mm nous encadrent et je fais effectuer 2 virages successifs afin de les eviter. cela nous deporte un peu a l'est et nous sommes a present dans une position situee entre palerme et trapani du point de vue EST OUEST, mais plus au nord encore largement au dessus de la mer. en zoomant au maximum je regarde la composition de l'aerodrome allié a attaquer et commence a decrire a mes ailiers ou attaquer (le parking droit selon notre cap d'arrivee qui sera donc au 235). juste au moment ou je vais lancer le top depart, un appel en whisper de la part du groupe alpha me demande ou nous sommes. je repond qu'on est au nord est de rapani a 10km environ. mais ma reponse ne semble pas avoir ete entendue. et pour pouvoir repondre j'ai ete oblige de me derouter et d'aborter mon attaque. je cercle par la droite pendant que je parle afin de pouvoir attendre et redonner le top depart. je suis a 15km au nord nord est de trapani a present. et au moment je donner le top depart j'entend bigbang qui dis. j'attaque. je ne comprend pas comment il se lance tout seul a l'attaque c'est du suicide. decidement c'est le bordel en radio. et a ce moment la un vrombissement et boum boum une grosse serie d'impact sur mon appareil. un diable a queue fourchue passe et mon appareil part en vrllle. je n'ai que le temps de m'ejecter. heureusement que j'etais haut. mon parachute s'ouvre immediatement et le vent m'entraine doucement vers le nord. au moment je plonger dans les flots je ne vois rien a proximité. pas de navires ennemis en vue, pas de message capturé. j'espere qu'on pourra venir me chercher, l'eau est fraiche.
Quand un bomber demande à des fighters s'il peut voler avec eux que croyez vous qu'ils répondent ? :" Super, et bien justement , on vient de toucher le dernier modéle de Fiat, un MC 202 flambant neuf, hyper bien armé,on te le laisse, si si on insiste, tu vas faire un malheur !.. mais bon si tu peux voler un peu loin de nous ça serait meiux...stratégiquement parlant !" Donc ravi pour mon retour de prendre la fine fleur de l'aviation transalpine, je me retrouve en fin de peloton avec mon MC 202 rouge à bandes jaunes. Un petit coup de pompe pour fermer le cockit dont la poignée me reste dans la main, la vérif des mano effectuée aprés avoir pousser les Gazetta dello sport qui encombrent , le check viseur " ah oui faut penser à enlever les autocollants de l'AC milan dur parabrise"..... Vol en formation dans le groupe de 2 pattes pour escorter des 110. A l'éclosion de petits nuages noirs annonciateurs de DCA, notre leader ordonne de monter et de zigzaguer " pourquoi ils vont pas tout droit ? Oh merde ils ont peur de la DCA, ah oui c'est vrai je suis chez les chasseurs..." bref on arrive sur zone et on assiste à un bel imbroglio à la radio, si bien que lorsque j'annonce 2 groupes de contacts au nord à mon leader, il ne répond pas, idem lorsque un P51 m'engage sans réponse ....bon allez, alors on fonce dans le tas, là où ça tire ! Prudemment, je prend de l'altitude et tente de localiser des ennemis. Je passe en canal charlie et O miracle j'entends mon leader de nouveau. J'aperçois un P 51 en poursuite d'un 109 , alors je le suis et tente de l'encadrer dans le viseur, 400m en déflection, je tire "PARAPAPAPA, PARAPAPAPA... merda! le klaxon !" raté, je le poursuis de nouveau en ressource profitant de mon élan, 200m,..100m j'ouvre le feu , éclats visibles sur la structure..Rien.. il continue à monter ! alors moi aussi et presse la détente légérement durant 20 secondes quand enfin l'aile se détache . " putana, oun kill !" A peine remis et recoiffé, je me refais engager sérieusement avec plusieurs coup qui portent. Fuite d'essence, gouverne naze, je tente de fuir quand mon moteur s'arrète! Panne d'essence ! je saute en parachute et atterit sur une plage où je peux déguster des gnocchis al frutti di mare, tout en regardant l'incroyable combat de 2 109 contre 3 P38. puis la patrouille vient m'interner..... *** Peetch Je suis N°2 derrière Bed suivie par magik et Tex, nav sans problème, arrivé sur destination visiblement il manque le deuxième groupe et le groupe de Kasp et Easy vire a gauche pour eviter la DCA quand nous virons a droite, Bed ordonne une passe et on fonce on largue nos 500 et ça explose pas mal en dessous, on pard en virage droite on repère 2 groupe de 4 bombardiers (B25), Bed nous envoie dessus, attaque coordonnées chacun le sien, le mien est celui le plus à droite et je manque malheureusement d'un peu de vitesse ce qui fait que je me retrouve de trop longue secondes sous le feu des mitrailleurs et pan mon moteur gauche est touché, je demande un rtb, je commence a prendre le cap mais je me dis que c'est juste une petite fumée noir et il me reste encore quatre petites bombes, je fait donc un passage sur l'objectif et je largue mes quatres petites bombes sur un avion et quelques véhicules, je prend un cap rtb et pas de bol mon cap rtb passe pile poil dans la mélée des chasseurs, je tente d'engager un P38 mais rien à faire mon moteur gauche se la joue ratp et decide d'entamer progressivement une grève tant que la QHAMP (Quantité d'Huile Alloué aux Moteurs a Piston) n'a pas été augmenté de 3 points par mois, j'accepte,il demande un accord ecrit, je n'ai pas de stylo sous la main donc quelques km plus tard je me vois contraint d'amerir, capturer. *** Lampatex Numero 4 du groupe de Bed, peu de choses a ajouter a ce qui a deja ete dis! Promotions (retour)
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