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Sommaire ![]() ![]() ![]() Briefing (retour)
L'Armée Rouge lance plusieurs offensives depuis 4h du matin. Le Soleil ne s'est pas encore levé que déjà les troupes de la Wehrmacht font face à d'importants bombardements, dûs à l'artillerie et à l'aviation russe. Debriefing (retour)
Shane C'est avec un peu d'apprehension que je décolle de bon matin. Nous allons avoir notre bapteme du feu contre des T34, ces formidables tanks russes qui sont tellement blindés qu'on ne peut les detruire que par un coup direct par le dessus. J'ai beau m'etre entrainé a ce genre d'attaque, j'ai de gros doutes sur mes capacites en situation réelle. Nous prenons le cap de l'objectif. un village eloigné de seulement 50km environ. la visu est assez claire et nous arrivons rapidement sur zone. les tanks ont deja commencé leur attaque du village et progressent rapidement malgré le terrain boueux. Je suis dans le 2eme groupe d'attaque. celui equipé du fameux BK3.7. normalement le 1er groupe doit neutraliser la dca a la bombe mais tres vite nous perdons un des gars descendu je crois par une dca. l'autre se libere de sa charge. et qq dcas se sont tues, mais il en reste et je prend soin d'en rester le plus eloigné possible. Je m'aligne et entame mon piqué.. mince quelle poussiere derriere ces tanks. pour viser ca va etre dur. je tire, ca touche.. merde loupé. ca a tapé juste derriere. pour ne pas me vautrer je remonte et j'entame une ronde infernale avec des allers retours entre les tanks et le village. tres vite mon leader s'ecrase a terre lors d'une ressource trop basse. je me retrouve etant le seul a pouvoir detruire ces tanks. quelle responsabilité. je fais passe sur passe, essayant tantot devant, tantot derriere les tanks. et Boum, ca y est j'en ai enfin eût un. helas, malgré mes essais (j'en ferais au moins une quinzaine) ce sera le seul et unique que je detruirais. demolir des chars en mouvement c'est vraiment tres difficile. les tanks ont atteint le village mais heureusement les defenses du village semblent avoir tenu malgré des pertes elevees. pleins de carcasses fumantes parsement les champs devant le village. c'est atteré par mes maigres resultats que je prend en compagnie de l'autre bf110 restant, le cap de la base. arrivé sur place je fais mon tour et m'aligne sur la piste. aie, mal aligné. et trop haut. tant pis, je tente neanmoins de me poser. ca arrive vite.. oups, ca rebondit.. aie aie.. j'espere que ca ne va pas trop faire mal.. un affreux bruit de metal qui se dechire et je perd cosncience quelques secondes. quand je reprend mes esprits, mon appareil ou du moins ce qu'il en reste est immobilisé sur la piste. au 1/3 de sa longueur. je debrelle mon parachute et saute hors de la carlingue. houlala, il ne reste que l'avant du fuselage et l'aile droite. mamamia.. les mecanos vont en faire une gueule. et merde, mon epave est en plein milieu de la piste. comment va se poser le suivant ? justement le voila. je hurle, fais des signes.. il a vu l'epave et la survole de pres. il se pose derriere et Boum une enorme boule de feu.. ohlala, qu'ais je causé. mon pote est mort par ma faute. misere de misere. c'est pas ma journée. Je prends le lead du schwarm (!) de Bf-110 avec comme équipiers Bigbang, Warpig, Shane et Pilax. On se dirige sur zone en échellon droite à 650m d'altitude, la visi étant moyenne avec les brumes matinales et le soleil bas. Ach gross malheur mon #3 warpig se fait déconnecter à mi-chemin...une lourde perte qui augurera mal de la suite. Arrivé sur zone très rapidement, on commence à peine à cercler que l'on repère des trainées de poussière se dirigeant vers l'ouest..les T-34 et leurs convois foncent vers le village tenu par nos troupes...la DCA mobile s'en donne à coeur joie..on distingue des tirs de roquettes venant de nos positions. Dans un calme très (mais alors très ) relatif, je plonge avec bigbang pour essayer de débrousailler pendant que Shane et Pilax cerclent en attente. Première passe je largue mes SD500 sur un T-34 et je fais mouche. La DCA nous gêne vraiment..ordre de les calmer un peu avec bigbang et après qq essais je me retrouve à -10m d'altitude en train de compter les mottes de terre. Pendant ce temps Pilax se fait dessouder par une DCA chanceuse, et Shane et Bigbang cerclent comme des vautours au-dessus des colonnes à faire plusieurs passes avec succès surtout sur le mou. Malheureusement seul Shane (qui soit dit au passage à le cul bordé de nouilles) rentrera indeme malgrès un atterrissage...sportif...tout comme Bigband qui visiblement ne prie pas pour les mêmes dieux. Je suis n°3 de Easy, censé mener le groupe de 3 Bf 110 équipés du BK 3.7, mais alors que notre dispositif s'approche de l'objectif, plusieurs carrés rouges s'affichent en haut de mon écran... Et vlam ! Jeté du serveur. Dépité, je me dirige vers mon frigo, sors une bouteille de chouchen. J'en déguste un verre, le casque remis sur les oreilles pour écouter les déboires de mes camarades, tout en matant le XV de France enchaîner les essais face aux pauvres Namibiens... Je suis n°3 dans un groupe de 109 (lead Riri, n°2 Kasp) qui a pour mission la protection de Novo. Deux Bf-110 nous accompagnent. A nous les chasseurs, a eux le lourd. Nav sans histoire, nous rallions la ville puis commençons à patrouiller à l'est. Nous ne savons pas vraiment d'où vont venir les Ruskov et avons peur de les rater. Soudain, au beau milieu d'une branche au 360, j'aperçois de nombreux contacts dans le soleil. Deux vagues de lourd (au moins 8 et 6) et une escorte de 4 chasseurs qui nous a vu et nous engage en plongeant. Je fais face en montant et vire à gauche pour engager une paire. Il s'agit de P-39, camouflage vert; pas facile à suivre au dessus de la forêt. Je prends le second de la paire en chasse tandis que son ailier tente de se placer dans mes six. J'arrose ma cible de quelques rafales de mitrailleuses qui font mouche, l'appareil désemparé part en virage engagé vers la droite. Je redresse en cherchant l'autre des yeux et aperçois du coin de l'oeil le premier Aircobra percuter le sol; un de moins. Un mouvement dans le feuillage: voila mon second client. Je me place facilement dans son secteur arrière et y reste malgré les manoeuvre du russe. Après une ou deux minutes d'acrobaties, j'explose l'Aircobra d'une rafale de 20mm. Pendant ce temps, Riri et Kasp ont géré les deux autres P-39 et les "lourd" ont terminé leur passes bombe sur la ville (mais les Bf-110 ont fait des ravages dans leurs rangs). Les Pe-2 sont sur le RTB, Riri et Kasp à leur poursuite. Avec deux ou trois km de retard, je me joins à la traque. Mes ailiers enchaînent les passes sur les bombardiers russes et je fais bientôt de même. Un première passe imprécise pour choisir ma cible: ce sera le plus à gauche dans un flight de 4 Pe-2. Je fais une passe plongeant depuis ses 7h haut: il est marqué noir et perd du carburant. Ressource gauche et je re-plonge, cette fois ci j'arrive depuis ses six avec moins d'angle. Dangereux, mais le différentiel de vitesse me protège. Je décide néanmoins de tirer de loin pour limiter les risques. Une longue rafale en visant son moteur gauche. Mes obus arrachent son plan; en voila un qui n'ira pas plus loin. Riri et Kasp ont eux aussi touché plusieurs cibles (Kasp est cependant touché et part en RTB), et les Pe-2 volent maintenant en ordre dispersé. Je repère deux cibles qui fuient vers la mer. Riri prend le Pe-2 de droite, moi celui de gauche. J'enflamme son moteur gauche (encore !) sur une passe. Je décide néanmoins d'en faire une deuxième pour en finir: ma dernière demi-seconde de munition coupent son fuselage en deux. Je suis winchester et regarde Riri faire quelques passes non décisive sur le sien avant d'être à son tour à vide. RTB sans histoire. Ailier de Riri, nos Bf-109 forment un petit dispo de trois avions devant effectuer une patrouille au dessus de la ville de Novorossiysk. Après un vol de croisière en formation serrée (!), nous nous plaçons aux alentours de 2500m dans la zone de patrouille. Beaucoup d'interrogations demeurent quant à l'axe d'approche des ennemis potentiels. D'un coup, tout devient clair : 2Pattes signale au moins douze contacts dans le soleil, avec un autre groupe de quatre au dessus, les chasseurs. Ces derniers ne tardent guère à nous voir. C'est accrochés à nos hélices que nous grimpons vaille que vaille pour contrer la première passe frontale. Je suis Riri dans ses évolutions, qui se place très vite derrière un bandit. Il ne faut guère quelques secondes de plus pour voir l'avion ennemi dégringoler des nuages, avec une aile en moins. C'est alors que j'aperçois l'ailier du Bolchévique qui passe juste devant ma verrière, se plassant derrière Riri. Il se révélera au final peu agressif, et bien rapide pour nos 109. En alternant les phases de prise d'énergie et de pressing, le P-39 est soudain en difficulté, et Riri ne tarde pas à lui couper une autre aile ! De son côté, 2Pattes termine tranquillement ses deux petits Soviétiques, et nous nous dirigeons donc vers les bombardiers ennemis, interceptés juste avant par Bed et Vicking, en Bf-110. Malheureusement, nous arrivons comme la cavalerie, les Pe-2 ont déjà fait leur boulot. N'empêche, on part à leur rencontre, et les Messerschmitt débutent leurs passes. J'effectue trois passes sur un bombardier, fortement endommagé, avec un moteur un carafe et une longue flamme d'essence jaillissant du réservoir gauche. Durant un tir sur un autre Pe-2, un salopard de Bolchévique mouche mon réservoir d'huile, et voilà que mon pare-brise suinte terriblement le cambouis. Avec ma réserve de puissance, je finis d'enflammer mon bombardier, avant de quitter la zone. A 3000m, 260km/h, ça devrait le faire. Tranquillement, je repasse la ligne de front. Mon moteur rend l'âme à 15km de l'aérodrome, à 2400m. C'est encore bon ! Le comité d'accueil réservé par Bed au milieu de la piste m'oblige à prendre le taxiway. L'approche est très correcte, mais la satanée hélice s'est arrêtée pîle à la verticale, ce qui, ajouté à l'huile, fait que je ne vois rien ! Je sors mon train pour me poser, quand je vois que j'arrive dans l'herbe. Je le rentre pour atterrir sur le ventre, et voilà que je reviens sur le béton ! Je ressors les roues, je touche sur le dur, mais me dirige de nouveau droit dans l'herbe ! Manche au ventre et volets rentrés, je tente d'éviter le capotage... ! Mais ce ne sera pas suffisant. Enfin, bien content d'être rentré.
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